The Tatami Galaxy - Masaaki Yuasa
Informations sur le média
- Titre : The Tatami Galaxy
- Réalisateur : Masaaki Yuasa
- Plateforme : Streaming
- Date de sortie : 22/04/2010
- Genre : Anime
- Nombre d'épisodes : 11 + 3 épisodes spéciaux
Statut
- Dans ma collection : Oui
- Format : Numérique
- Statut de visionnage : Terminé
- Date de début de visionnage : X
- Date de fin de visionnage : 24/04/2025
Résumé
L’animé suis l’histoire d’un jeune étudiant, Watashi (“moi” en français), c’est à dire un personnage dont le nom est inconnu.
A la fin de sa première année de faculté, il se retrouvera projeté dans le passé, pour revenir au début de sa première année. A la fin de celle-ci, il retournera encore dans le passé, encore et encore… Chaque nouvelles années, il choisira un nouveau club, et fera ainsi de nouvelles rencontres. Le phénomène se répètera et nous suivrons ses différents choix dans ce cycle sans fin.
Notes personnelles
The Tatami Galaxy est un anime que l’on recommandait déjà sur Internet il y a une dizaine d’années, qui m’avait beaucoup intrigué à l’époque notamment grâce à son nom étrange et au design particulier de son affiche. Je n’avais pourtant jamais réussi à le regarder.
La couverture a été réalisée par Yūsuke Nakamura, qui s’est occupé du chara design de la série. Il est surtout connu pour les illustrations des albums du groupe de J-POP Asian Kung-Fu Generation. Je suis vraiment fan de son travail et de ses illustrations avec les personnages de profil.
Je ne connaissais pas encore le travail de Masaaki Yuasa et je n’ai découvert que plus tard qu’il était le réalisateur de The Tatami Galaxy.
J’ai toujours eu un mal fou à me lancer dans cet anime, peut-être à cause du début du premier épisode qui rentre directement dans le tas. J’ai cependant enfin réussi à passer au-delà des 5 premières minutes.
Les épisodes sont liés par la répétition d’un cycle où le personnage principal choisit (ou non) un club lors de sa première année d’université. Il rencontrera les mêmes personnages dans des contextes différents, mais échouera toujours à trouver l’amour. À la fin de l’épisode, un retour dans le temps s’opère, ce qui permet au personnage principal de choisir un autre club.
J’ai beaucoup aimé ce système où l’univers et son histoire sont construits au fur et à mesure en arrière-plan à travers les boucles, en faisant en sorte que le héros principal côtoie les autres personnages dans des scénarios différents.
On remarque notamment dans les derniers épisodes que les événements décrits dans les précédents, continuent de se dérouler même sans la participation du personnage principal au dit club. Le fait qu’il ne soit pas membre d’un club n’empêche pas ce dernier de vivre dans le monde de The Tatami Galaxy.
De plus, chaque épisode se suffit à lui-même, ce qui m’a permis de pouvoir faire des pauses de plusieurs jours sans être perdu au retour. C’est sans doute ce qui a pas mal aidé à arriver au bout de la série, n’étant jamais obligé d’enchaîner un double épisode.
Quant à la fin de la série, je l’ai trouvée très bien et dans la continuité de ce qui avait été proposé avant.
The Tatami Galaxy est une œuvre avec une ambiance bien à elle, surréaliste et mystique, avec des personnages étranges auxquels on accroche vraiment bien, le tout enrobé d’un style graphique et musical bien prononcés comme je les aime.
Il me reste les 3 épisodes spéciaux à regarder, puis le film “Night Is Short, Walk on Girl” suivi de “The Tatami Time Machine Blues”.
Épisodes spéciaux
Petite note supplémentaire sur les 3 épisodes spéciaux. Il s’agit d’histoires fictives que se racontent le groupe de personnages principaux dans la maison du Maître et les épisodes font 7 minutes.
Le premier parle d’une montée des eaux et la recherche de sa cause via un subterresible. La couleur principale de l’épisode est le bleu.
Le second parle d’un groupe de pervers qui observe les jeunes filles à travers leur subterresible. La couleur principale de l’épisode est le rouge.
Le troisième parle du héros principal qui va pêcher et qui se retrouve en compétiton avec lui-même pour récupérer Akashi, le tout dans un subterresible. La couleur principale est le noir/gris.
J’ai eu une préférence pour le dernier qui a un style plus surréaliste et décousu, mais ils étaient tous vraiment beau à voir, donc voici des screenshots.
